J'ai fait les soldes. Un matin, Isabelle m'a traînée, toute hurlante que je ne voulais pas y aller, jusqu'à des magasins chics du centre-ville. Bon, je ne hurlais pas. En fait, si je ne courais pas c'est tout juste à cause des multiples douleurs dues à mon grand âge. Enfin en gros, je me suis rendue de façon tout à fait posée et polie en compagnie d'Isabelle dans des magasins chics du centre-ville. Rayez la mention qui vous plaît le moins.
Donc bon bref, on a fait les soldes. Il fut un temps où je trouvais mon bonheur à H&M, du temps où je pouvais faire des kilomètres pour aller jusqu'en Suisse trouver le seul magasin de la région, et puis ce temps a passé, et les jeans ne m'y vont plus. Ou moi je ne leur vais pas. Enfin on ne s'accorde pas sur la taille qui nous irait respectivement et ensemble. Alors bon bref, on a fait un passage éclair dans le magasin, Isabelle a fait une petite moue devant le seul jean qui ne m'avait pas tourné le dos et on est allées plus loin. Et depuis, je ne quitte plus l'admirable petite robe qui me va si bien. Ces jours prochains, ne vous pressez pas, vu que je ne la quitte plus vous êtes sûrs de la rencontrer.
Entraînée par l'enthousiasme, j'ai voulu mener mon MiniLoup dans les magasins. Mais il vient d'aborder aux joyeux rivages de la résistance à tout crin aux préférences maternelles et sa phrase favorite, ô si polie, est : "je préfère pas". Mes velléités de rhabillage du louveteau se sont limitées à l'achat hors de sa présence d'une paire de chaussettes. Enfin je ne baisse pas les bras, en faisant discrètement un crochet on peut prétendre que les magasins sont sur le trajet du manège, et puis il reste un mois de soldes alors tout va bien.
Pour finir sur ma belle lancée, j'ai hanté mes nouveaux magasins favoris. Il fut un autre temps que tout à l'heure (je veux dire, il y a un peu moins longtemps que le temps évoqué ci-dessus, j'espère que vous suivez), je me serais ancrée pour une heure ou deux au milieu des travées d'une librairie. De nos jours, dotée d'un loupinet plus porté sur les aventures de Mimi la souris que sur la dernière sortie BD ou le dernier polar de la collection 10/18, il est rare que je puisse muser dans les allées ; j'arrive tout juste à faire un arrêt éclair au rayon cuisine. Ce qui nous mène à mes nouveaux magasins favoris, des magasins donc qui vendent du matériel de cuisine. Je rêve toujours de la machine fabuleuse qui permet de faire des frites, mais mes goûts se sont un peu raffinés avec la pratique intensive de la cuisine familiale pour nourrir les gens, et je zieute désormais les couteaux. Oui oui, les couteaux. Aujourd'hui, j'ai mis la main sur un couteau japonais. Il paraît que ce sont les Rolls des couteaux, les couteaux japonais.
Alors expliquez-moi ce que je fais encore ici à vous blablater tout ça alors que j'ai un couteau qui attend tranquillement devant une pile chancelante d'oignons ? Allez zou.
Donc bon bref, on a fait les soldes. Il fut un temps où je trouvais mon bonheur à H&M, du temps où je pouvais faire des kilomètres pour aller jusqu'en Suisse trouver le seul magasin de la région, et puis ce temps a passé, et les jeans ne m'y vont plus. Ou moi je ne leur vais pas. Enfin on ne s'accorde pas sur la taille qui nous irait respectivement et ensemble. Alors bon bref, on a fait un passage éclair dans le magasin, Isabelle a fait une petite moue devant le seul jean qui ne m'avait pas tourné le dos et on est allées plus loin. Et depuis, je ne quitte plus l'admirable petite robe qui me va si bien. Ces jours prochains, ne vous pressez pas, vu que je ne la quitte plus vous êtes sûrs de la rencontrer.
Entraînée par l'enthousiasme, j'ai voulu mener mon MiniLoup dans les magasins. Mais il vient d'aborder aux joyeux rivages de la résistance à tout crin aux préférences maternelles et sa phrase favorite, ô si polie, est : "je préfère pas". Mes velléités de rhabillage du louveteau se sont limitées à l'achat hors de sa présence d'une paire de chaussettes. Enfin je ne baisse pas les bras, en faisant discrètement un crochet on peut prétendre que les magasins sont sur le trajet du manège, et puis il reste un mois de soldes alors tout va bien.
Pour finir sur ma belle lancée, j'ai hanté mes nouveaux magasins favoris. Il fut un autre temps que tout à l'heure (je veux dire, il y a un peu moins longtemps que le temps évoqué ci-dessus, j'espère que vous suivez), je me serais ancrée pour une heure ou deux au milieu des travées d'une librairie. De nos jours, dotée d'un loupinet plus porté sur les aventures de Mimi la souris que sur la dernière sortie BD ou le dernier polar de la collection 10/18, il est rare que je puisse muser dans les allées ; j'arrive tout juste à faire un arrêt éclair au rayon cuisine. Ce qui nous mène à mes nouveaux magasins favoris, des magasins donc qui vendent du matériel de cuisine. Je rêve toujours de la machine fabuleuse qui permet de faire des frites, mais mes goûts se sont un peu raffinés avec la pratique intensive de la cuisine familiale pour nourrir les gens, et je zieute désormais les couteaux. Oui oui, les couteaux. Aujourd'hui, j'ai mis la main sur un couteau japonais. Il paraît que ce sont les Rolls des couteaux, les couteaux japonais.
Alors expliquez-moi ce que je fais encore ici à vous blablater tout ça alors que j'ai un couteau qui attend tranquillement devant une pile chancelante d'oignons ? Allez zou.
2 commentaires:
un couteau japonais! zat iz egzactely wat i need!! faudra me dire où ça se trouve.
(bon une robe aussi, mais en attendant de voir de visu de mes vrais yeux, je reste sur mon quant-à-moi pantalonné)
biz!
(et heu, on peut allaiter dans ta robe?)
Classe, Madâme ! Moi aussi chuis curieuse de voir la robe !
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