jeudi 30 juin 2011

Les fantômes ne sont plus ce qu'ils étaient

- Bon, les enfants, au lieu de lancer des peluches sur les chats, vous ne voudriez pas me rendre service ?
- Mouais. C'est quoi que tu veux ?
- Et bien voilà. Il y a un fantôme dans cette maison.
- (Les copains) : Un fantôoooome ? naaaaan !
- Si, si, un fantôme.
- (MiniLoup, blasé) : Maaah naaan, ya pas de fantôme...
- (La maman) : Si, si, ya un fantôme. Il s'appelle Alphonse et il est très gentil, mais il a une habitude très agaçante : en ce moment, toutes les nuits à quatre heures du matin, il me réveille. Vous ne voudriez pas aller lui parler gentiment et lui demander d'arrêter ?
- (Les copains, impressionnés) : Oui, d'accord...
- (MiniLoup, ultra-blasé) : Maah naaan, attendez, ma maman elle raconte tout le temps des blagues.
- (Les copains, incertains) : Ah, t'es sûr ? ya pas un fantôme, c'est une blague ?
- (MiniLoup) : Ben ouais, elle a même essayé de me faire croire qu'il faut prendre un bain tous les jours, alors !
- (Les copains, convaincus) : Ah ouais, alors c'est une blague !

Ya plus de jeunesse, si vous m'en croyez.

lundi 27 juin 2011

Braderie

Si vous avez trop chaud à la grande braderie de Rennes mercredi prochain (le 29), venez donc faire un tour au frais, à la petite braderie du Café Clochette... La cafelière fait ses cartons et il y a plein de choses qui ne partiront pas avec elle, mais qui seront sans doute bienheureuses de partir avec vous. Amenez vos sacs, paniers et autres cartons !
Livres pour enfants et adultes, vaisselle, déco, vêtements adultes et enfant, couches, machine à calculer, plaque à induction, tasses et théières, matériel de bricolage, jouets en bois et encore plein d'autres trucs... Un peu de neuf, un peu d'usé, beaucoup de choses...
Nous ouvrirons à partir de midi environ.

samedi 25 juin 2011

Bottes de cent lieux

C'est aujourd'hui le dernier jour d'ouverture du Café Clochette. Mais pas question de se morfondre. Aujourd'hui, pour se souvenir des bons moments, nous vous proposons de lire le billet que le journaliste Xavier Eveillé avait écrit sur le Café Clochette pour son livre Guide de la Bretagne insolite et relax, paru aux Editions de la Ligne Pourpre en mai 2011. Ce petit coin rennais aurait donc fait partie des cent lieux répertoriés, si la fermeture n'avait pointé son nez juste avant publication. A noter que d'autres enseignes insolites bien sympathiques y sont recommandées, telles que le café-laverie Les chaussettes de l'archiduchesse de Rennes ou encore le café associatif A l'abord'âge de Nantes. Vous pouvez retrouver ce talentueux monsieur ici (clic). En voilà une bonne façon de dire au-revoir au Café Clochette...

À la santé du petit dernier !
Les mamans trinquent au comptoir, maintenant ? Tout fout le camp ! Le flipper qui claque, pourtant, c'était moins bruyant, aux oreilles d'un mâle, qu'un bébé qui caquette ! Sûr que ça doit être scientifiquement prouvé. Quant au match de Ligue 1 et ses timides beuglements de supporters, tout juste si ça couvrait le bruit du coup de pied dans le ballon... Non, vraiment : les conversations feutrées des filles, voilà le véritable fléau du XXIe siècle. Du tapage diurne, je vous dis !
À Rennes, le Café Clochette fait partie de ces nouveaux lieux de perdition. Les tables à langer y ont remplacé le babyfoot. Le salon de thé, la bonne vieille pression. Et les chaises hautes ont relégué les tabourets de comptoir au rang de pièces de musée. À la mémoire de l'homo-bistrot.

Piliers de bar en culottes courtes
La messe est dite : les femmes ont pris le pouvoir jusqu'au coin du bar. Pascale Grosbras est de cette révolution. Au 37, rue de Dinan, elle a transformé le rez-de-chaussée de sa maison en café alternatif et éthique avec salon de thé, espace enfants, ateliers... Et ça marche. Partant du constat que les jeunes mamans n'ont quasiment pas de lieux de sortie et qu'il est très facile de se sentir vite isolée, Pascale Grosbras, qui sait de quoi elle parle, a imaginé en 2008 un lieu de vie original dédié aux mères et à leurs jeunes piliers de bar en culottes courtes. Tout ce petit monde se retrouve autour de bruschettes au saumon, d'une soupe de potiron au roquefort et d'un fondant choco-cardamome ! Ici, c'en est fini de la démarche féline des serveuses : dans les travées du café-salon de thé slaloment de gentils matous. L'un d'eux, Clochette, a d'ailleurs inspiré le nom de l'établissement. Les chats sont ici les rois.

Dans un ancien labo photo
Chaleureux, intime, le Café Clochette ne peut accueillir que 19 personnes. Il faut dire que la transformation du local n'a pas été simple. L'ancien pas de porte accueillait un laboratoire de développement de photos. Il a fallu toute l'ingéniosité de la créatrice, aidée en cela par un talentueux plombier, pour faire de cet espace un repaire simple et cosy à la fois, à deux pas du quartier historique. " Sans être passante, ce qui est plus rassurant pour les mamans, la rue s'avère proche des quartiers les plus touristiques de Rennes ", note Aude, l'une des deux salariées qui oeuvrent en salle aux côtés de Pascale.

On se passera de gluten...
Côté cuisine, l'équipe peut compter sur le talent de Solo qui se triture les méninges pour dénicher des recettes simples, équilibrées voire végétariennes ou sans gluten. Parmi ses trouvailles, le Koba de son Madagascar d'origine, à base de banane cuite à l'eau chaude et de farine de maïs. Ou comment réussir à proposer un dessert sans gluten, sans lait, sans fruits-coque et sans oeuf. Pas simple, mais savoureux tout autant !
Bon allez, les gars : nous aussi on va s'en passer de Gluten, finalement !
De toute façon, il ne joue pas en Ligue 1...

mercredi 22 juin 2011

Hop

- Ma maman elle va mettre des sous dans l'ordinateur !
- Pfff, n'import' quoi, t'as un ordinateur dans ta voiture, toi ?
- Ben nan, pas dans la voiture, dans l'ordinateur ! devant la voiture, quoi ! Mais elle va reviendre dans pas longtemps.
La conversation suit son petit bonhomme de chemin et les bribes s'en perdent à l'entrée de la cuisine quand la cafelière y retourne. En cuisine, c'est la pagaille des grands jours. Mais une pagaille étonnamment mesurée. On voit qu'une tornade est passée mais une tornade polie, soucieuse de ne faire que les dégâts strictement nécessaires. Les assiettes sont empilées au petit bonheur à côté de l'évier, mais les couverts sont bien tous dans le même sens, par exemple.
Trève de racontages, j'abandonne mes piles chancelantes une minute aux mains expertes de Aude qui leur fait un sort rapido pour venir vous parler de la suite des événements.
Demain vendredi, il doit rester une table ou deux le midi, et deux ou trois le soir et nous peaufinons le menu à l'heure où je vous parle. Le samedi, attention, le Café Clochette n'ouvrira ses portes que pour le goûter, parce que le matin, la cafelière ira verser sa petite larme de joie en contemplant son fils-crocodile danser la ronde avec d'autres animaux ("moi, chuis d'Océanie !") au spectacle de la fête de l'école et que le midi, elle mangera une galette-saucisse comme tout le monde en une si belle occasion. Le soir, tout est complet au Café Clochette... alors je ne vais pas retourner le couteau dans la plaie pour vous dire ce que vous allez manquer, les heureux convives vous le raconteront plus tard s'ils ont envie.
Et puis dimanche, ce sera la braderie du Café Clochette. Nous mettrons en vente ce qui nous reste de stock de thés, de jouets en bois, de livres de cuisine, matériel divers, ainsi que le mobilier du Café : tables, chaises, table à langer, etc.
Enfin, il est possible que le jour de la Grande Braderie rennaise, le 29, le Café Clochette entrouvre à nouveau ses portes, mais pour proposer la braderie de la cafelière, cette fois : au détour des cartons, vous trouverez des vêtements, des livres, des disques, de la vaisselle, de la déco diverse et variée, des guirlandes de Noël, des tas de trucs et de machins... une braderie, quoi... on laisse le passé derrière et hop, en avant.

lundi 20 juin 2011

Granularithé

Le docoteur des chats, l'autre jour, a prescrit à Timirrou des granules d'homéopathie. Perplexité sans fin de la cafelière félino-pourvue : comment administrer des granules à un chat ? Surtout s'il s'agit d'un chat du Café Clochette, habitué à voir les petits tubes bleus perchés tout en haut du vaisselier derrière le comptoir en cas de chute accidentelle d'un tout-petit dans le coin jeu - des tubes fort convoités par toute la population féline locale puisqu'on peut, d'un coup de patte, les envoyer valser joyeusement dans un recoin sombre où la cafelière, espèrent-ils en se gaussant, ne les retrouvera jamais. C'est sans compter, mes chatons, sur le déménagement qui nous pend au nez et qui va me faire explorer dans les moindres détails ces fameux recoins laissés à l'abandon ces dernières années. Je pense me trouver bientôt à la tête d'un trésor de tubes de granules, de sachets de sucre, de baballes en mousse et de diverses vis et autres boutons.
Bref. Donner des granules à un chat, c'est finalement comme donner des granules à un bébé : soit on lui fait suçoter, soit on les fait fondre dans un peu d'eau. Je vois mal mon Timirrou suçoter des granules simplement si je lui demande, il serait plutôt du genre à se débattre comme si ça vie en dépendait dès que j'essaie de lui faire avaler un truc même minuscule, même supposé "appétant" (la bonne blague). Quand à lui faire boire un peu d'eau, que voulez-vous, c'est un chat. Il ne boira qu'exactement quand il l'aura décidé, et donc selon toute probabilité en plein milieu de la nuit, ce qui m'obligerait à lutter contre le sommeil pour lui tendre une coupelle quand il commencerait à bailler de la façon si caractéristique qui précède un étirement en règle et un lapage délicat d'eau fraîche ; quand à laisser la gamelle d'eau en accès libre avec les granules subrepticement fondues dedans, ça signifie que les deux autres choupinettes velues vont s'y abreuver aussi. Je suis tout à fait perplexe.
Encore que ça n'est rien par rapport à la perplexité qui m'a saisie ce matin, au magasin des voitures. Je m'y connais encore moins en voiture qu'en psychologie féline. Un vendeur compatissant m'a repêchée au rayon des bidons d'huile (je crois que c'était de l'huile) où je m'étais égarée pour m'envoyer me perdre au rayon des autocollants en forme de lézards, alors que je cherchais un réhausseur pour MiniLoup. J'ai fini par laisser tomber et je suis allée faire une provision de citrons confits à Bélasie.
Car cette semaine, je m'amuse à refaire les mêmes plats que la toute première semaine d'ouverture du Café Clochette : bricks au thon, lasagnes chèvres-épinards, poulet au citron confit. Je me tâte pour refaire un chili con carne. Pour les desserts, ce sera brownie, cheesecake à la framboise, gâteau banane-chocolat. Sûrement panna cotta. Peut-être blondie aux abricots et chocolat blanc. Pourquoi ces précisions ? Parce que c'est la dernière semaine où vous pourrez venir goûter tout ça. Et où moi je pourrai cuisiner toutes ces succulences. Demain matin, j'irai pour la dernière fois faire les courses dans le magasin gigantesque où il fait très froid.
C'est la semaine des dernières fois. J'ai le museau humide et froid. Ce n'est pas chez moi un signe de bonne santé, juste de grande nostalgie. Mais ça va être une belle semaine, je le sens.

vendredi 17 juin 2011

Bergère à la coque et blancs moutons

- Maman, maman ! (arrive en courant, le cheveu humide)
- Oui ?
- Maman, tu sais pourquoi les oeufs des grenouilles y sont mouillés ? Hi hi hi.
- Euh... parce qu'ils habitent dans l'eau ?
- Nan ! devine encore !
- Parce que leur maman elle les arrose avec un petit arrosoir ?
- Mais naaan !
- Alors je sais pas.
- Les oeufs y sont mouillés paske y pleut des mouillettes ! Hi hi hi !

mercredi 15 juin 2011

Gâteaux au miel (de sapin)

"Et surtout n'hésitez pas à me rappeler, chère Madame !"
Surréaliste. C'est la première fois qu'un banquier, a fortiori le mien, me parle avec autant de miel dans la voix. C'est à se demander si je n'ai pas soudainement changé de dimension. Ce qui est, maintenant que j'y pense, probablement le cas. Dame, c'est que je suis passée de la cliente-qui-a-une maison-et-un-commerce-mais-surtout-des-dettes à la cliente-qui-n'a-plus-de-maison-ni-de-commerce (mais plus de dettes non plus, enfin un de ces jours). On est donc passé de "Madame, vous êtes encore dans le rouge, rappelez-moi" à "Oh, vous achetez une voiture, formidable ! vous savez qu'on vend des assurances pour les voitures, chez nous ?" et à l'invocation de l'ombre tutélaire d'un hypothétique conseiller personnel à venir. L'autre jour, mon conseiller actuel m'a même offert un stylo, c'est dire si on est copains.

J'ai donc, ces jours-ci, acheté une voiture. Pour tout un tas de raisons, c'est une grande nouvelle pour moi. Il me reste à affronter quelques Cerfas pour être totalement en règle avec notre belle administration, mais enfin je suis motorisée et j'ai un grand sentiment de liberté tout à coup. Que je célèbre à grandes fournées de petits gâteaux, parce que c'est fou comme les gens qui passent par ici ont envie de petits gâteaux, ces jours-ci. Peut-être parce qu'ils se disent qu'ensuite, ils n'auront plus que les recettes et plus les gâteaux eux-mêmes ?
Ces quelques jours de retour aux fourneaux, à discuter avec les gens qui passent et qui grignotent leurs gâteaux, sont trop lourds d'émotion pour que je me risque à vous engluer avec la guimauve qui me tapisse le coeur. Je ne dirai donc qu'une chose : si mon banquier vient prendre un café, j'irais, tant je suis au bord d'un océan de béatitude triste (ou de tristesse béate, je n'arrive toujours pas à départager), jusqu'à lui offrir une petite assiette de dégustation.
Je n'étais décidément pas faite pour être commerçante. Mais ça, vous le saviez déjà.

lundi 13 juin 2011

T'as pas dix sous ?

Dissoudre une activité commerciale, c'est la même chose que la créer, l'espérance en moins et la tristesse en plus. Les mêmes questions : par quoi on commence ? à qui on s'adresse ? quelles bureaucraties se mettre à hanter ? à qui faire confiance pour avoir des réponses fiables ? dans quel ordre faire les choses ? quel est l'urgentissime, l'urgent et le simplement "à faire" ?
Mister C., que rien ne déroute : "oh mais ne vous en faites pas, au moins ça ne coûte rien de vous faire radier du greffe !" C'est effectivement une différence avec l'immatriculation. Toujours optimiste, Mister C., il ne me laisse pas le luxe de l'apitoiement et c'est bien à ça qu'on voit que c'est quelqu'un de bien. D'autant que des quelques factures qu'il me reste à régler, l'une vient de chez lui mais que ça ne l'empêche pas de me dire "allez, ne vous en faites pas pour ça, c'est pas urgent..." Pour les autres factures en souffrance, auprès d'un certain M. Ours Saf, c'est nettement moins aimable mais ça ne saurait entamer ma... euh, bonne humeur est un peu excessif. Très, très excessif. Voire carrément faux, certes.
Mais je soupçonne que l'avenir immédiat me donnera du grain à moudre. Le document de radiation est facile à trouver, en plus. Et devinez quoi ? ben oui, forcément. C'est un Cerfa. Un de ces abominables Cerfas même pas des neiges qui m'ont tant accablée au début de l'activité (et même avant), comme un air de petit tour et puis s'en va. On m'y demande avec une certaine insistance si c'est une "cessation consécutive au décès de l'exploitant" et je me tâte pour vérifier. Nan, apparemment ça respire encore tout juste.
Heureusement, dans tout ça il y a la présence d'un certain MiniLoup, comme il y a trois ans lorsque nous lancions des expéditions chez les pompiers pour savoir de quoi retournait cette histoire d'ERP (et les Cerfas y-afférant).
- Maman, comment on fait pour attraper les canards ?
- Euh... c'est une bonne question, mais je ne sais pas du tout. Tu as une idée, toi ?
- Oui, avec un avion attrape-canard !
Ah ben oui bien sûr.

vendredi 10 juin 2011

Recette inavouable : le peanut brittle

Il vous en souvient peut-être, un des premiers billets de ce blog vous offrait, chers lecteurs alors clairsemés (et d'autant plus précieux), la recette des mantecaos, parce que j'avais résolu de mettre mes recettes favorites en "open source". Vous étiez, et êtes toujours, ainsi libres de les adapter à votre main, pour les faire vôtres et vous amuser avec. Aujourd'hui, je vous livre pieds et poings liés ma recette inavouable : le peanut brittle.
Il me semble me souvenir (mais l'époque où j'avais le temps de regarder des séries américaines est bien loin - ah, la fossette de Josh...) que dans un des premiers épisodes de Desperate Housewives, une dame offre du peanut brittle à un des enfants de Lynette. Si ça n'est pas une justification en béton pour vous donner cette recette, je ne sais pas ce que c'est.
Le seul problème, c'est que vous aurez du mal à trouver l'un des ingrédients : le syrop de maïs. Vous pouvez le remplacer par du sirop de glucose ; on en trouve souvent, arome miel (oui je sais c'est affreux), dans les épiceries exotiques. Maintenant, voici :

Peanut brittle

Mélangez dans un saladier en verre solide 1 tasse de sucre blanc, une 1/2 tasse de sirop de maïs (corn syrup) ou de sirop de glucose. Mettez au micro-onde, puissance maxi, pendant 4 mn. Ajoutez une tasse de peanuts (= cahouètes, pas salées de préférence), mélangez et remettez 4 mn. Ajoutez une cuillère à soupe de beurre salé (attention le mélange peut éclabousser à ce moment-là) et un petit peu d'extrait de vanille liquide, remettez 2 mn. Enfin, ajoutez une cuillère à soupe de bicarbonate de soude et mélangez vivement. Ca va mousser et pâlir, c'est normal.
Ensuite, étalez rapidement le plus possible du mélange sur une plaque huilée ou couverte de papier sulfurisé avant que ça ne durcisse. Laissez refroidir puis quand c'est dur, cassez en petits morceaux.

Un dernier mot de mise en garde : en anglais, brittle ça veut dire "fragile". Ne vous y fiez pas. Il faut avoir les quenottes solides pour s'y risquer. Vous ne direz pas que je ne vous ai pas prévenus.

lundi 6 juin 2011

L'ultime cerise sur le gâteau


Le Café Clochette ouvre pour une dernière fois ses portes du 8 au 26 juin !

C'est ainsi le moment où jamais de siroter une dernière tasse de thé, de se délecter des assiettes de dégustation maison, d' inventer un nouveau jeu avec les anciens jouets, de feuilleter un livre dans un bon fauteuil en osier, de faire un brin de causette avec la cafelière ou d'entamer enfin la conversation avec sa voisine de tablée.
C'est aussi le moment ou jamais de faire votre stock de thés, de jouets et de livres pour profiter plus longtemps ou rédécouvrir un peu plus tard leur saveur conservée.

Tout au long de ce mois, nous vous servirons donc notre dernière surprise, dont voici les ingrédients inédits:

- une bonne réduction de 30% sur thés, livres d'occasion et jouets en bois
- des "Pochettes-Clochette" farcies de surprises ludiques et gourmandes
- un dîner "Payez comme vous Aimez"*, samedi 25 dès 18h
- un "Bradage final" exceptionnel de mobilier, vaisselle et autres bricoles, dimanche 26

Bien sûr, il reste l'ingrédient secret de toute cuisinière qui se respecte. Cette cerise là pourrait bien rester un brin volante, surprenante et émouvante. Comme un petit quelque chose dans l'air qui invite à la rencontre ici, et certainement ailleurs aussi...

* Ce n'est pas une blague ! Vous réglez votre repas en fonction de la valeur que vous lui portez... Il serait presque inutile de rappeler qu'il vaut mieux réserver !

mercredi 1 juin 2011

Eternal Sunshine of the Sportless Mind

Attention, avis de réouverture !

Et oui. C'est le retour de la cafelière. Toute courbaturée, parce qu'elle a porté des tonnes de cartons pour vider sa chambre d'étudiante où c'est fou le nombre de livres qu'on peut stocker sur ces petites étagères. Ce qui est un excellent exercice pour la semaine prochaine, où l'attendent quelques autres tonnes, mais de produits frais cette fois, destinés à être transformés en nourriture elle-même destinée à être servie au Café Clochette...
... car oui, nous réouvrons à partir de mercredi 8 juin, aux horaires habituels, pour trois semaines et trois semaines seulement. Pour plus de précision, ce sera comme suit :

mercredi : midi-18h30
jeudi : midi-18h30
vendredi : midi-23h
samedi : midi-23h

Il est fortement recommandé de réserver pour le midi et le soir. Attention, il est possible que de loin en loin les horaires soient un peu aménagés (notamment le jour de la fête d'école de MiniLoup), il peut être prudent de vérifier sur le blog et le site.

Alphonse, repasse ton drap, mon grand. Nous reprenons du service !
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