Un marron qui germe posé sur une petite assiette, quatre ou cinq mouflets assis par terre tout autour, une maman scribe et c'est parti pour "inventer une histoire". Ce fut un joli moment, tout à fait informel, qui partait un peu dans toutes les directions (d'où les quelques fils pas très noués dans la narration ci-dessous, mais qu'ils sont étonnants ces petits avec leur belle imagination !). La prochaine fois, on pourra s'asseoir et même écrire et dessiner pendant qu'on imagine. Alors, il était une fois...
C'est l'histoire d'un tout petit, tout petit garçon, pas plus grand que ça, plus petit qu'un bébé lutin. Il habite dans ce marron...
Quand on regarde bien et qu'on approche son oeil du marron, on peut voir sa tête ! (attention, ne pas se faire mordre). Il s'appelle Lulu Naraga.
Le marron germe, germe, et le petit garçon grandit, grandit. Quand la lumière arrivera par le trou du germe qui grandit, il pourra sortir.
Lulu Naraga grandit, grandit. Il devient très, très grand et il a envie de sortir, mais il a peur aussi. Il a peur du noir dans ce marron, mais il a aussi peur de sortir. Il grandit jusqu'au plafond. Pendant ce temps, le marron est devenu un arbre. Alors Lulu donne un coup de pied dans l'arbre. Ca le fait tomber. Il peut sortir ! Il y a plein de marrons par terre.
La petite fille qui avait planté l'arbre se rend compte alors qu'il y avait un petit garçon dans cet arbre.
Sihani, la sorcière, donne des graines au petit garçon. Il y a des grosses graines qui font rapetisser, et des petites graines qui font grandir. S'il prend les petites graines, il ira habiter dans les nuages, et ça fera de la neige. Il sera alors le roi des nuages.
Et voilà ! il est parti en vacances. Mais il sait faire des galipettes.
Oeuvre collective (Y, L, D, A et V), le 29 mars 2009.
C'est l'histoire d'un tout petit, tout petit garçon, pas plus grand que ça, plus petit qu'un bébé lutin. Il habite dans ce marron...
Quand on regarde bien et qu'on approche son oeil du marron, on peut voir sa tête ! (attention, ne pas se faire mordre). Il s'appelle Lulu Naraga.
Le marron germe, germe, et le petit garçon grandit, grandit. Quand la lumière arrivera par le trou du germe qui grandit, il pourra sortir.
Lulu Naraga grandit, grandit. Il devient très, très grand et il a envie de sortir, mais il a peur aussi. Il a peur du noir dans ce marron, mais il a aussi peur de sortir. Il grandit jusqu'au plafond. Pendant ce temps, le marron est devenu un arbre. Alors Lulu donne un coup de pied dans l'arbre. Ca le fait tomber. Il peut sortir ! Il y a plein de marrons par terre.
La petite fille qui avait planté l'arbre se rend compte alors qu'il y avait un petit garçon dans cet arbre.
Sihani, la sorcière, donne des graines au petit garçon. Il y a des grosses graines qui font rapetisser, et des petites graines qui font grandir. S'il prend les petites graines, il ira habiter dans les nuages, et ça fera de la neige. Il sera alors le roi des nuages.
Et voilà ! il est parti en vacances. Mais il sait faire des galipettes.
Oeuvre collective (Y, L, D, A et V), le 29 mars 2009.
5 commentaires:
et ben bravo les enfants, c'est une bien jolie histoire
vivement la prochaine fois que nous puissions participer
ah chouette ! moi qui avais raté le début, j'ai enfin tout lu ! et je montre ça aux filles ce soir, ç va leur plaire ! si elles inventent une suite, on l'écrira ;-)
kneplood : marque du prochain appareil ménager qui fera son apparition dans la cuisine du Café Clochette...
bon à la page de la frousse j'avais ce cape-chat :
pastriti...moi je trouve qu'il a un nom de gâteau que tu vas nous inventer : ça sera pas triste, ni stressant puisque délicieux!( et donc pas très sérieux pour le régime stricte...)
à prononcer à l'italienne je pense..
sinon, le cape-chat là n'en est pas un :
pressnes...vraiment n'importe quoi quand même! bientôt il va nous mettre des mots qu'existe!!
pour la petite histoire de Lulu...c'était pas Naragua c'était Varagua ( tu vois, j'écris mal... mais c'est bien aussi naragua)
Très joli !!!
On a lu notre histoire et on s'est rendu compte que c'était plus joli qu'avant. On te fait des très gros bisous Pascale !
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