Hola*.
Et voilà, les vacances, c'est fini. Je rentre fourbue et les yeux encore pleins d'autres images et de surprises au détour de la route. Stéphanie-la-mouette, qui a tenu la maison avec brio pendant cette semaine, m'attendait avec une assiette de dégustation de sa composition et j'ai atterri en douceur au milieu de mes trois chats qui faisaient un rien la truffe. Stéphanie, je te dois une belle chandelle et j'espère que l'occasion se réprésentera souvent de se croiser comme ça ! dommage que la semaine ait été aussi calme, enfin je parle de la fréquentation des lieux, parce que même avec le resto à moitié vide tu n'as pas dû arrêter une minute, c'est le métier qui veut ça. J'ai lu sur ton blog tes aventures et bien ri à la rencontre avec Joe Pesci... je serai à l'affût la semaine prochaine, c'est sûr. Et puis un jour de la semaine où je suis tombée sur un poste internet, je n'ai pas pu m'empêcher d'aller zieuter le menu que tu avais mis en ligne (ici, clic) et si je n'avais été en route pour un bar à tapas j'aurais été très tentée de rentrer goûter à tout ça...
Car les tapas emballent. Si, si, les tapas emballent. Ce fut une vraie révélation gastronomique et culturelle, je n'en suis pas revenue. Enfin si, mais avec quelques kilos d'anchois, d'olives et de jambon, dans l'espoir d'imiter cette formidable expérience gustative. Et le chocolat, vous le saviez vous que Barcelone était réputée pour son chocolat ? ben moi, non. Vous imaginez la surprise.
Re-bonjour à tous, je vous laisse, j'ai de l'huile d'olive à déballer. La semaine prochaine, il n'est en effet pas impossible que l'ardoise du Café Clochette s'ibérise.
Adios**.
*&** : acquérir deux mots de vocabulaire en une semaine ce n'est pas certes pas glorieux, mais c'est un début. Il ne me reste plus qu'à aller lire George Orwell...
Et voilà, les vacances, c'est fini. Je rentre fourbue et les yeux encore pleins d'autres images et de surprises au détour de la route. Stéphanie-la-mouette, qui a tenu la maison avec brio pendant cette semaine, m'attendait avec une assiette de dégustation de sa composition et j'ai atterri en douceur au milieu de mes trois chats qui faisaient un rien la truffe. Stéphanie, je te dois une belle chandelle et j'espère que l'occasion se réprésentera souvent de se croiser comme ça ! dommage que la semaine ait été aussi calme, enfin je parle de la fréquentation des lieux, parce que même avec le resto à moitié vide tu n'as pas dû arrêter une minute, c'est le métier qui veut ça. J'ai lu sur ton blog tes aventures et bien ri à la rencontre avec Joe Pesci... je serai à l'affût la semaine prochaine, c'est sûr. Et puis un jour de la semaine où je suis tombée sur un poste internet, je n'ai pas pu m'empêcher d'aller zieuter le menu que tu avais mis en ligne (ici, clic) et si je n'avais été en route pour un bar à tapas j'aurais été très tentée de rentrer goûter à tout ça...
Car les tapas emballent. Si, si, les tapas emballent. Ce fut une vraie révélation gastronomique et culturelle, je n'en suis pas revenue. Enfin si, mais avec quelques kilos d'anchois, d'olives et de jambon, dans l'espoir d'imiter cette formidable expérience gustative. Et le chocolat, vous le saviez vous que Barcelone était réputée pour son chocolat ? ben moi, non. Vous imaginez la surprise.
Re-bonjour à tous, je vous laisse, j'ai de l'huile d'olive à déballer. La semaine prochaine, il n'est en effet pas impossible que l'ardoise du Café Clochette s'ibérise.
Adios**.
*&** : acquérir deux mots de vocabulaire en une semaine ce n'est pas certes pas glorieux, mais c'est un début. Il ne me reste plus qu'à aller lire George Orwell...
3 commentaires:
welcome home chère Pascale !
Nous on s'est bien régalé avec Stéphanie mais les tapas à ta façon ça nous tente bien aussi ;)
Hola ! yo no sabia que Barcelona tenia fama de vender chocolate tan bueno, pero si tu lo dices, tendremos que ir a probarlo algun dias de estos... Espero que te lo hayas pasado bien y que nos veremos pronto para que me lo cuentes todo. (Lo siento, no tengo los acentos españoles en este teclado)
Besos cariñosos !
(ay, se me olvidaba : cuando era estudiante, estuve ocho meses en Granada, y alli, son gratis las tapas con la copita... gratis y tan ricas...)
Milène : merci ! je carbure sur le menu pour mercredi !
Fredo : si tu es là le 10, je me propose de faire un xocolate chaud avec celui ramené de là-bas... je n'en suis pas revenue, moi, décidément. "Ricas", dis-tu ? hum, un peu peut-être ! Gros bisous à vous, j'espère à bientôt ?
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