Quel drôle d'oiseau, quand même, cet oiseau à qui on dit depuis quelque temps qu'il a une plume ! Vous croyez que c'est facile, vous, quand on est un oiseau, de voler avec une seule plume ? C'est pour ça qu'il s'acharne, avec ses petites pattes griffues, à concocter des gâteaux et autres trucs à manger et qu'il fait de son mieux pour s'aérer, histoire d'être en contact de temps en temps avec son élément naturel, l'air du temps.
Mais jour après jour ou presque, c'est vrai que je suis attirée comme par un aimant (celui du pôle, peut-être) pour vous raconter mes histoires par ici. Encore une belle chose que m'a apprise cette année et quelque, la plus incroyable que j'aie jamais vécue : je peux faire confiance à la pulsion d'écrire qui me vient au bout de ma plume solitaire de piaf désaxé. Encore que ces derniers temps, il me soit revenu aux oreilles quelques réclamations : quoi, plus de Cerfas ? et Mister C., où est-il passé ? et pourquoi tant de recettes pour nous autres pauvres lecteurs qui honnissons notre cuisine ? et ce fantôme, là, c'est quoi ? et l'inspectrice, elle est où ? J'envisage d'ailleurs d'ouvrir un cahier de doléances, histoire de préparer la révolution en douceur.
Tiens, en parlant de révolution. Il paraîtrait qu'elle est en marche, j'ai l'information de première main, et j'ai promis de faire des gâteaux aux valeureux combattants. Alors je vous laisse, vous comprenez. D'autant que j'ai encore le monde à changer avant demain matin.
Mais jour après jour ou presque, c'est vrai que je suis attirée comme par un aimant (celui du pôle, peut-être) pour vous raconter mes histoires par ici. Encore une belle chose que m'a apprise cette année et quelque, la plus incroyable que j'aie jamais vécue : je peux faire confiance à la pulsion d'écrire qui me vient au bout de ma plume solitaire de piaf désaxé. Encore que ces derniers temps, il me soit revenu aux oreilles quelques réclamations : quoi, plus de Cerfas ? et Mister C., où est-il passé ? et pourquoi tant de recettes pour nous autres pauvres lecteurs qui honnissons notre cuisine ? et ce fantôme, là, c'est quoi ? et l'inspectrice, elle est où ? J'envisage d'ailleurs d'ouvrir un cahier de doléances, histoire de préparer la révolution en douceur.
Tiens, en parlant de révolution. Il paraîtrait qu'elle est en marche, j'ai l'information de première main, et j'ai promis de faire des gâteaux aux valeureux combattants. Alors je vous laisse, vous comprenez. D'autant que j'ai encore le monde à changer avant demain matin.
3 commentaires:
Ce titre me rappelle Spinoza et la fac de philo...
Je serai ravie de goûter à vos bons gâteaux, nous débarquons en nombre vers 14h30...
Où l'on découvre donc que finalement, écrire c'est dur pour tout le monde, que c'est à la fois le venin et l'antidote, qu'on songe à tout arrêter mais qu'en fait, pas...
un petit coucou de malte ou l'archeologie prend une place fort importante> bisous de nous 2.
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