Bien bien bien. Il semblerait que d'aucuns s'inquiètent de mon absence. Alphonse, qui est un fantôme selon mon coeur même si je fais mine de m'irriter de sa présence (mais ne le lui dites pas, un fantôme fat c'est comme une maison avec un heurtoir en cuivre : ça fait encore plus de bruit quand on admet qu'on trouve ça beau) (enfin je ne crois pas aux fantômes de toute façon ; comme dirait l'autre, j'en ai trop rencontré) (fin de la parenthèse), a semble-t-il pris le relais l'autre jour avec brio, à tel point qu'il laisse traîner depuis dans toute la maison des petits bouts de papier couverts de paraphes flamboyants sous lesquels on peut lire "A. Morfati, co-auteur". Alphonse, mon cher, ne vous fourvoyez pas, l'édition c'est un milieu sans pitié pour les gens sans substance et je crains que, tout bien pesé, votre ego ne pâtisse d'un long flirt avec lui. Et voilà, encore un alexandrin.
En vérité, je suis épuisée. Je marche assise et à tout petits pas. Il y a des fois où on arrive au bout de sa résistance physique, où les événements, même les plus souriants, s'accumulent un peu trop et qu'on n'arrive plus à suivre. J'attends toutes les nuits la bonne nuit de sommeil qui me fera remonter la pente (ouh la vilaine métaphore pas finie) mais elle tarde à venir, alors en attendant, je tente d'assurer le quotidien, j'écoute MiniLoup à l'affût d'une belle parole, j'échange de jolis messages avec des gens qui se préoccupent gentiment de ma santé et je me creuse le ciboulot à la recherche de quelque chose à vous raconter. Ce qui n'est clairement pas la meilleure méthode, vu que les billets que j'ai préféré vous écrire étaient ceux qui coulaient tout seuls. Le long de la pente remontée par mon sommeil, sûrement...
Mais demain et les jours suivants vont être passionnants, alors je serai sur le pont. Demain soir, mercredi, de 18h à 19h, il y a toujours le cercle de silence devant la mairie. Jeudi matin, au Café Clochette, il y aura un atelier de portage en écharpe animé par Magali de l'association Tribu Koala, tous les renseignements sont sur le blog de l'association, il faut s'inscrire auprès de Magali. Samedi matin, il y a une permanence de l'association Maman Blues animée par Ingrid. Et dimanche, les brunchs reprennent, c'est à partir de 13h et sur réservation (et c'est complet pour ce dimanche, le prochain brunch sera début mars).
A bientôt !
En vérité, je suis épuisée. Je marche assise et à tout petits pas. Il y a des fois où on arrive au bout de sa résistance physique, où les événements, même les plus souriants, s'accumulent un peu trop et qu'on n'arrive plus à suivre. J'attends toutes les nuits la bonne nuit de sommeil qui me fera remonter la pente (ouh la vilaine métaphore pas finie) mais elle tarde à venir, alors en attendant, je tente d'assurer le quotidien, j'écoute MiniLoup à l'affût d'une belle parole, j'échange de jolis messages avec des gens qui se préoccupent gentiment de ma santé et je me creuse le ciboulot à la recherche de quelque chose à vous raconter. Ce qui n'est clairement pas la meilleure méthode, vu que les billets que j'ai préféré vous écrire étaient ceux qui coulaient tout seuls. Le long de la pente remontée par mon sommeil, sûrement...
Mais demain et les jours suivants vont être passionnants, alors je serai sur le pont. Demain soir, mercredi, de 18h à 19h, il y a toujours le cercle de silence devant la mairie. Jeudi matin, au Café Clochette, il y aura un atelier de portage en écharpe animé par Magali de l'association Tribu Koala, tous les renseignements sont sur le blog de l'association, il faut s'inscrire auprès de Magali. Samedi matin, il y a une permanence de l'association Maman Blues animée par Ingrid. Et dimanche, les brunchs reprennent, c'est à partir de 13h et sur réservation (et c'est complet pour ce dimanche, le prochain brunch sera début mars).
A bientôt !
5 commentaires:
Pensées réconfortantes.Sincèrement.
Bon ma tête enruhmée jette l'éponge à sortir un jeu de mots idiot avec flirts, heurtoirs, flirts et pentes et flirts...
courage, la pente est pentue, mais la vue est magnifique, ou encore les égos sans substance pâtissent, mais la cafélière flirte avec la patisserie et surtout, la route est longue mais la voie est libre, comme on dit par chez moi.
même le capcha m'est hostile : pshmsgbf !
Coucou Pascale,
Qu'est-ce qui te tracasse tellement que tu en perdes le sommeil? (remarque moi en ce moment c'est pareil, je dors peu, je fais des nocturnes avec l'ordi, les BDs ou les romans en anglais...) mais moi j'suis pas chef d'une petite entreprise qui a besoin de tourner...Je pourrai moi aussi essayer de faire des jeux de mots mais je te les laisse, c'est toi le docteur en littérature! Je pourrai aussi t'envoyer de réconfortantes pensées, mais mon caractère aime à trouver des solutions à tout, être dans l'action... Alors je te dirai plutôt: prends rendez-vous chez un médecin ou chez un osthéopathe ou un acupuncteur, je crois que ces professionnels peuvent t'aider à combattre tes veillées nocturnes...Ben ouais, on aimerait pas que tu tombes malade ou que tu sois raplapla. J'imagine que c'est pas tous les jours facile de garder le sourire, l'énergie, la bonne humeur...
Je te dis à tout à l'heure pour une dégustation de tes gourmandises et je t'envoie des pensées positives virtuelles et je commande le marchand de sable pour toi cette nuit!
Bises
Inès
Alala comme je te comprend ! Bon je dors mais je suis quand même sur les rotules.
J'ai l'impression de tout faire mal, de toujours être à la bourre dans les projets à rendre (ok je suis à la bourre).
Et plus je suis crevée moins je suis agréable, pfff je remercie mon chéri de me supporter dans ces moments là.
Allez j'ai du boulot !
Le capcha me propose une pinte, dois je voir là une invitation ? Pfff yen a même pas à la maison.
Isa : merci, itou
cb : ça va mieux les sinus ?
Inès : je suis touchée de te lire ici et j'espère que les nouvelles de la journée sont bonnes...
Audrey : c'est, au moins en partie, le sort de toutes les mamans tu sais... ça aide quand on se serre les coudes en se disant qu'on n'est pas seule à le vivre ! à bientôt
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