Depuis quelques mois, je réponds régulièrement à des demandes de renseignements sur l'activité du Café Clochette : comment ça marche, est-ce que ça marche, est-ce que c'est susceptible de marcher ailleurs... Laurence, du Poussette Café à Paris, a souvent les mêmes questions (en mon temps, j'avais d'ailleurs fait appel à elle, moi aussi, pour les mêmes raisons). Que répondre, comment répondre ?
Il y a deux ou trois semaines, la réponse était toute simple : accueillir Annie, qui a pour projet d'ouvrir un café pour les enfants dans une ville pas très loin de Rennes. C'était du sérieux, avec une convention de stage et tout et tout. Et ce furent trois jours très agréables. Partager ses expériences, c'est toujours agréable de toute façon. Et quand c'est pour quelqu'un comme Annie, on en vient à soupirer de regret une fois qu'elle est partie. Bon vent à toi ! Je te souhaite bon courage pour ces mois qui t'attendent, et grand succès ensuite.
J'ai découvert récemment qu'une condisciple lisait le blog du Café Clochette et je vous invite à aller voir le sien - ça m'a rappelé des souvenirs... A toi aussi la Mouette, bon vent dans cette aventure.
Il y a deux ou trois semaines, la réponse était toute simple : accueillir Annie, qui a pour projet d'ouvrir un café pour les enfants dans une ville pas très loin de Rennes. C'était du sérieux, avec une convention de stage et tout et tout. Et ce furent trois jours très agréables. Partager ses expériences, c'est toujours agréable de toute façon. Et quand c'est pour quelqu'un comme Annie, on en vient à soupirer de regret une fois qu'elle est partie. Bon vent à toi ! Je te souhaite bon courage pour ces mois qui t'attendent, et grand succès ensuite.
J'ai découvert récemment qu'une condisciple lisait le blog du Café Clochette et je vous invite à aller voir le sien - ça m'a rappelé des souvenirs... A toi aussi la Mouette, bon vent dans cette aventure.
Parfois, on me demande péremptoirement mon étude de marché et on ne comprend pas quand je dis que ça ne peut pas se partager. Parfois, il y a un échange de mails. Souvent, on vient me voir à l'heure calme, après le déjeuner, et Christine et moi on discute des tenants et des aboutissants du Café Clochette avec des créateurs et créatrices d'entreprise potentiels. Parfois, c'est une conversation au détour d'un instant perdu, où on me dit "moi aussi, j'aurais bien aimé faire ça...". Franchir le pas, c'est une histoire à la fois d'accidents du destin, d'obstination et de manque de sommeil... Ca vaut le coup, oui c'est sûr, ça vaut le coup. Quoi qu'il arrive, avoir créé un lieu comme le Café Clochette, ça vaut le coup. Alors de quel droit irais-je dire que ce n'est pas la peine d'essayer, alors que je pense tout le contraire ? Tant que je suis dans le coin, je trouve ça bien qu'on vienne me demander comment ça se passe et/ou s'est passé jusque-là.
Par contre, si je ne réponds pas tout de suite, ne m'en veuillez pas, hein... il arrive aussi que je fasse un peu de cuisine dans mon restaurant, à mes heures perdues !
Par contre, si je ne réponds pas tout de suite, ne m'en veuillez pas, hein... il arrive aussi que je fasse un peu de cuisine dans mon restaurant, à mes heures perdues !
2 commentaires:
Bonjour Pascale,
Merci pour le clin d'oeil, c'est drôlement sympa! Je viendrais bien servir au café Clochette, moi, avec mon étude de marché sous le bras, on pourrait en passer des heures à échanger... et à cuisiner!
Tu as parfaitement raison concernant le "business plan", c'est vrai que cela semble fastidieux au départ, mais c'est en fait indispensable de le faire soi-même. Il n'y a pas de modèle-type, juste des ressentis, c'est tellement aléatoire, le succès ou non d'une entreprise, qu'il vaut mieux savoir ou on met les pieds avant de se lancer!!
A bientôt!
où l'on met les pieds, pardon!!
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